Mangez des insectes, c'est plein de protéines!!

Sur ce lien http://entomophagie.free.fr/comparaison.html vous trouverez un tableau comparatif qui présente les valeurs nutritionelles de différents insectes ainsi que d'aliments plus " traditionels " pour 100g construit à partir des données de chercheurs américains ( version originale ) et de celles du livre " Des insectes à croquer ".

Citation :

Notre statut de lycéens ne nous permet pas de démontrer la validité de chacune de ces informations par une expérience. Néanmoins, en recueillant d'autres mesures, nous avons réalisé que certaines sont contestables car elles se contredisent entre elles.

Exemple : Alors que le tableau indique une plus forte teneur en protéine dans le boeuf que dans la sauterelle, l'insectarium de Montréal ( source fiable ) affirme qu'elle est de " 70% chez la sauterelle " et de " 19% chez le boeuf ". Nous n'avons pas réussi à élucider l'origine de ces contradictions.

On observe que les insectes contiennent aussi peu de lipides que le boeuf de première qualité. C'est une bonne chose pour les pays dans lesquels le surplus de produits gras dans l'alimentation pose un probème. En revanche, d'autres insectes comme la larve du mopane ou les termites sont extrèmement riches en lipides et sont donc indispensables dans d'autres pays.

Dans beaucoup de documents, il nous a été possible de constater que les insectes étaient très riches en protéines ( voir plus haut ). Ce n'est cependant pas représenté dans ce tableau.

Les insectes sont très riches en calcium et en fer : il y en 10 fois plus dans les termites que dans le boeuf !

L'insecte qui semble le plus intéressant au niveau nutritif semble ici le criquet migrateur. C'est d'ailleurs l'insecte le plus consommé dans le monde, car il se distingue également par un nombre immense d'individus et un goût très apprécié.

Les insectes ont un réel intérêt au niveau nutritif si on les compare aux aliments traditionnels occidentaux. Ils ont déjà fait leurs preuves dans les pays entomophages et ces données montrent qu'il y a beaucoup à gagner à généraliser l'entomophagie à l'échelle mondiale.